L’arrivée de l’actuelle directrice du FMI élime le risque de politique plus extrême que la nomination de Jens Weidmann aurait présenté.

La nomination de Christine Lagarde à la tête de la BCE représente la continuité, éliminant le risque de politique plus extrême que la nomination de Jens Weidmann aurait présenté. Nos attentes concernant la politique monétaire européenne à court terme restent inchangées: un «paquet» d’assouplissement, comprenant un taux de dépôt plus bas et une relance du QE, semble probable d’ici à la fin de l’année.
Les antécédents de Lagarde et la nature politique de sa nomination suggèrent que sa présidence pourrait mettre davantage l’accent sur des domaines tels que la coordination fiscale et une union bancaire, avec d’autres, comme l’économiste en chef Philip Lane, assurant la continuité du cadre de la politique monétaire.