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Afin d’éviter de payer la taxe de 40% sur les «surprofits» des banques instaurée par le gouvernement Meloni, le numéro un italien va mettre de côté plus de 2 milliards d’euros.

Le groupe vise désormais une croissance de 6% à 7% pour cette année, contre 8% à 10% précédemment, après un chiffre d’affaires en hausse de 4,8% au troisième trimestre. L’action plonge de 60%.

Selon Bloomberg, qui cite des sources anonymes proches du dossier, la banque d’affaires serait principalement visée.

«Nous sommes parvenus à optimiser notre portefeuille de prestations de services, à gagner des parts de marché et à créer plus de 300 emplois», indique Reto Savoia, CEO de Deloitte Suisse.

Le bénéfice net part du groupe ressort à 3,8 milliards de livres (4,1 milliards de francs=, pour un chiffre d’affaires de 13,7 milliards de livres, en hausse de 7%.

Deutsche Bank a enregistré un bénéfice net part du groupe de 1,03 milliard d’euros au troisième trimestre. Il a chuté de 8% en l’espace d’un an, reflet de l’augmentation des taux d’imposition effectifs.

«Nous continuons notre ascension régulière et poursuivons la mise en œuvre de notre stratégie disciplinée», explique le CEO, Stefan Hoops.

Angelo De Lucia a été nommé Responsable du département Industrie & Sciences de la vie à partir du 1^er octobre 2023.

Le groupe bancaire a dégagé 2,9 milliards d’euros (2,7 milliards de francs) de profits entre juillet et septembre, contre 2,42 milliards sur la même période voilà un an.

Le résultat avant intérêts et impôts du groupe genevois de logiciels bancaires bondit à 59,8 millions de dollars, soit une avancée de 46% par rapport à la même période un an plus tôt.