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Les pénuries d’approvisionnement et les prix élevés de l’immobilier l’emportent sur la forte demande.

«Les locataires exigent toujours plus de flexibilité, en mettant l’accent sur un mode de vie plus sain et des services à la demande», explique Zsolt Kohalmi, responsable de l’immobilier et co-CEO de Pictet Alternative Advisors.

«Plus que jamais les promoteurs et développeurs ont besoin de soutien technologique pour faire face aux besoins des futurs acquéreurs», explique Sandro Medina, Managing Director de la société.

L’indice des prix de l’immobilier résidentiel (IMPI) a ainsi bondi de 2,4% au troisième trimestre par rapport au précédent, selon l’OFS.

Le développeur de projets immobiliers de l’investisseur égyptien Samih Sawiris a retrouvé la rentabilité avec un bénéfice net de 3,7 millions de francs après une perte de 8,3 millions un an plus tôt.

Sur les neuf premiers mois de l’année, le développeur et exploitant de destinations touristiques a vu son chiffre d’affaires bondir de 50% à 4,9 milliards de livres égyptiennes, soit quelque 290 millions de francs.

L’entreprise zougoise ambitionne ainsi d’atteindre la neutralité carbone de son portefeuille d’ici 2050 et de réduire de moitié la part des énergies fossiles utilisées dans les immeubles.

Les prix des logements ont augmenté de près de 6% sur trois mois, «ce qui correspond à la plus forte hausse depuis 2013», indique la grande banque.

Selon le groupe de services immobiliers Cifi, l’accès à la propriété reste plus que jamais très difficile en Suisse pour les particuliers.

Les autres risques identifiés par l’Autorité fédérale de surveillance pour cette année dans le secteur financier n’ont pas changé par rapport à 2020.