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«Nous surpondérons modérément nos perspectives sur le facteur Volatilité Minimale», a commenté Laura Jalabert de BlackRock.

Les investisseurs se montrent optimistes quant aux perspectives de reprise vraisemblablement rapide des actions américaines.

Les indices passifs existants présentent des caractéristiques carbone et ESG sous-optimales par rapport à ce que peut offrir la gestion active.

L’équilibre des risques a évolué du côté du crédit.

La confiance des consommateurs américains est à l'ordre du jour cette semaine, alors que la «falaise fiscale» se rapproche et que la propagation de la pandémie dans les États.

«Le début de la saison des rapports a été fort, avec 65% des entreprises dépassant les attentes du marché», écrit Ann Steele de Columbia Threadneedle.

Une fois encore, c’est dans une crise existentielle que l’Union s’est renforcée. Quand l’Europe tombe, elle se relève plus haut.

Le secteur financier devrait permettre à Zurich de limiter les dégâts économiques. A l’inverse, le Jura risque de subir sa forte représentation horlogère, selon UBS.

Le plan de relance équivaut à plus de 5% du PIB de l’UE. Les actions américaines, plus défensives, restent privilégiées par rapport aux titres européens.

Les investisseurs pourraient continuer à augmenter leur exposition aux actions tout en cherchant à se protéger avec l’or.