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Le Brent termine sur un décrochage de 2,03% à 84,90 dollars et le WTI finit sur une dépréciation de 2,23% à 77,90 dollars.

Les indices fluctuent peu: Paris recule de 0,21%, Francfort de 0,16% et Milan de 0,38%, tandis que Londres a progressé de 0,25%.

La contraction du secteur privé américain s’est atténuée en janvier. En Europe, les effets de la crise énergétique se dissipent.

La première estimation du PIB du quatrième trimestre ressort mieux que prévu (+2,9% t/t annualisé). Dans la zone euro, la hausse des PMI manufacturier et des services en janvier est plus importante qu’attendu.

Dow +0,08%, S&P 500 +0,25%, Nasdaq +0,95%, Russell 2000 +0,44%, SOX -0,72%, Eurostoxx +0,1%, SMI +0,13%.

Les perspectives du Dow Jones restent techniquement neutres à court terme, mais la Fed pourrait changer la donne mercredi.

Les places financières clôturent sans grande variation à Paris (+0,02%), Francfort (+0,11%) et Londres (+0,05%). Sur la semaine, les indices ont continué d’avancer, comme ils le font depuis le début de l’année.

Le Dow Jones grappille 0,08%, le Nasdaq monte de 0,95% et l’indice élargi S&P 500 progresse de 0,25%.

Le Brent termine sur une perte de 0,92% à 86,66 dollars et le WTI finit sur une dépréciation de 1,64% à 79,68 dollars.

L’indice vedette Nikkei a grapillé seulement 0,07% à 27.382,56 points, mais signe sur l’ensemble de la semaine un bond de 3,1%.