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Les actionnaires ont voté la liquidation volontaire et le remboursement des moyens aux investisseurs. L’ensemble des factures en souffrance ont, elles, été payées.

Tandis que l’indice vedette termine inchangé, celui des valeurs technologiques finit sur un recul de 0,51% et l’indice élargi S&P 500 sur un reflux de 0,19%.

Le prix du baril de brut coté à New York chute à 72,01 dollars. De son côté, le Brent perd 2,74% à 77,17 dollars.

Durant la semaine achevée le 2 décembre, les réserves commerciales ont diminué de 5,2 millions de barils, soit nettement plus que la baisse de 3,4 millions de barils attendue par les analystes.

Paris lâche 0,41%, Francfort 0,57%, Londres 0,43% et Milan 0,10%. En Suisse, le SMI baisse de 0,89%.

Dow -1,03%, S&P 500 -1,44%, Nasdaq -2,00%, Russell 2000 -1,50%, SOX -2,36%, Eurostoxx -0,44%, SMI -0,76%.

Wall Street semble débuter une nouvelle jambe de baisse alors que les craintes de récession reviennent au premier plan.

L’indice vedette Nikkei a perdu 0,72% à 27.686,40 points et l’indice élargi Topix a cédé 0,1% à 1.948,31 points.

Le Dow Jones fléchit de 1,03%, le Nasdaq subit une dépression de 2,00% et l’indice élargi S&P 500 abandonne 1,44%.

Le baril new-yorkais finit sur une dégringolade de 3,48% à 74,25 dollars. De son côté, le Brent termine sous les 80 dollars pour la première fois depuis début janvier, avec une chute de 4,02%.