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L’indice vedette Nikkei a lâché 1,83% à 25.937,21 points, redescendant sous la barre des 26.000 points en clôture pour la première fois depuis le 1er juillet.

L’indice élargi clôture sur un décrochage de 2,11% à 3'640,47 points. Le Nasdaq lâche 2,84% et le Dow Jones limite la casse avec un recul de 1,54%.

Les indices ont fini en nette baisse, de 1,53% à Paris, de 1,71% à Francfort, de 2,40% à Milan et de 1,77% à Londres. Plus tôt ils ont perdu jusqu’à plus de 2%. A Zurich, le SMI a cédé 0,92%.

Vers 11h30, le Brent cédait quelque 0,10%, à 89,23 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain pour livraison le même mois, perdait 0,07% à 82,10 dollars.

L’action a décollé à 84 euros, au-dessus du prix d’introduction fixé à 82,50 euros, lors de sa première cotation à 09h15T, valorisant le groupe Porsche à plus de 76 milliards d’euros.

Le Nikkei, qui fait du yo-yo depuis le début de la semaine, a pris 0,95% à 26.422,05 points et l’indice élargi Topix a gagné 0,74% à 1.868,80 points.

Dow +1,88%, S&P 500 +1,97%, Nasdaq +2,05%, Russell 2000 +3,17%, SOX +1,22%, Eurostoxx +0,20%, SMI +0,93%.

Le Russell 2000 pourrait reprendre de la hauter à court terme, mais l’inflation PCE core sera probablement déterminante vendredi.

Le Dow Jones avance de 1,88%, le Nasdaq grimpe de 2,05% et l’indice élargi S&P 500 monte de 1,96%.

Le Brent termine sur une poussée de 3,53% à 89,32 dollars et le WTI finit sur une envolée de 4,64%, à 82,15 dollars.