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Le prix du baril revient tester un support majeur à 92,50$, mais devrait l’enfoncer à mesure que le risque de récession augmente.

L’indice technologique clôture sur un recul de près de 2% à 11’562,57 points alors que le Dow Jones fléchit de 0,71% à 31’761,54 points.

Tandis que le baril de brut clôture en baisse de 1,77% à 94,98 dollars à New York, la référence du gaz naturel en Europe s’envole à 202,45 euros le mégawattheure, son niveau du début de l’invasion russe de l’Ukraine.

Parmi les bourses du continent, Francfort, sensible aux nouvelles sur l’approvisionnement en gaz, a perdu 0,85%, Milan 1,04%, Paris 0,42% et Londres a fini à l’équilibre. A Zurich, le SMI a reculé de 0,24%.

Le Russell 2000 pourrait débuter une nouvelle jambe de baisse à court terme alors que le risque de récession continue d’augmenter.

L’indice vedette Nikkei a cédé 0,16% à 27.655,21 points et l’indice élargi Topix a stagné à 1.943,17 points. Cependant à Hong Kong l’indice Hang Seng gagnait au contraire plus de 1,7% après 06h00 GMT.

Dow +0,28%, S&P 500 +0,13%, Nasdaq -0,43%, Russell 2000 +0,60%, SOX -0,61%, Eurostoxx +0,21%, SMI +0,30%.

Le Dow Jones finit proche de la barre des 32'000 points, en hausse de 0,28%, et le Nasdaq termine en baisse de 0,43% à 11’782,67 points.

Le TTF néerlandais, la référence du gaz naturel en Europe, a terminé sur un envol de 8,60% à 176,45 euros le mégawattheure. Côté pétrole, le baril de West Texas Intermediate est monté de 2,11% à 96,70 dollars.

A la clôture, Paris grappille 0,33%, Londres 0,41% et Milan 0,80%. Francfort finit en baisse de 0,33%, perturbée en fin de journée par l’annonce par Gazprom d’une nouvelle baisse de ses livraisons de gaz russe à l’Europe.