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Francfort a reculé de 0,64%, Londres de 0,67%, Milan de 0,38% tandis que Paris a mieux résisté (+0,12%), soutenu par les valeurs financières et le résultat du premier tour de l’élection présidentielle.

Les actions américaines et européennes ont bien résisté au fort mouvement de hausse des taux longs.

Aux Etats-Unis, la hausse des taux hypothécaires pénalise les nouvelles demandes d’emprunt des ménages.

L’indice vedette Nikkei a cédé 0,61% à 26.821,52 points et l’indice élargi Topix a abandonné 0,38% à 1.889,64 points.

Dow +0,40%, S&P 500 -0,27%, Nasdaq -1,34%, Russell 2000 -0,76%, SOX -2,42%, Eurostoxx +1,48%, SMI +1,09%.

Le Dow Jones grappille 0,40% à 34’721,12 points tandis que le Nasdaq recule de 1,34% à 13’711 points et le S&P 500 fléchit de 0,27% à 4’488,28 points.

L’action de la banque italienne grimpe de 10,24% à 3,01 euros à la clôture, après avoir gagné jusqu’à 15% en séance, dans un marché en hausse de 2,13%.

Paris (+1,34%), Francfort (+1,46%), Londres (+1,56%) et Milan (+2,13%) réussissent à clôturer en terrain haussier. Mais sur la semaine, seule la place britannique progresse.

Vers 11h30, le Brent prenait 1,00% à 101,59 dollars. Le WTI gagnait quant à lui 1,17% à 97,17 dollars.

L’indice vedette Nikkei a clôturé sur un gain de 0,36% à 26.985,80 points, lâchant tout de même 2,45% sur l’ensemble de la semaine écoulée. L’indice élargi Topix a lui pris 0,21% à 1.896,79 points.