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La valeur du géant californien a quasiment décuplé depuis le départ de l’emblématique Steve Jobs.

Le Brent termine sur une grimpée de 1,54% à 78,98 dollars et le WTI finit sur un gain de 1,15% à 76,08 dollars.

Milan vrombit de 1,40%, Francfort grimpe de 0,86% et Paris monte de 0,90%, s’offrant de nouveaux records en séance et en clôture. A Zurich, le SMI avance de 0,49%.

Le titre du groupe italien, dont la fixation du prix a été retardée d’une demi-heure en raison des faibles volumes négociés, a clôturé sur une chute de 10,23% à Milan.

Le SMI a grimpé de 20% alors que le volume de négoce a chuté de plus d’un quart et le nombre de transaction a fondu de plus d’un tiers.

L’indicateur économique avancé de la Fed de Dallas déçoit tandis que celui de l’antenne de Richmond ainsi que le PMI de Chicago rassurent.

Ces derniers mois, l’entreprise a répété plusieurs fois qu’elle achèverait les projets entamés, dans une tentative désespérée de sauver ses dettes, bien qu’elle ait manqué le premier paiement de plus de 1 milliard d’euros.

Le Dow Jones a cédé 0,16% à 36.338,30 points. Le Nasdaq, à coloration technologique, a lâché 0,61% à 15.644,97 points et le S&P 500 0,26% à 4.766,18 points.

Vers 11h40, le Brent avançait de 0,19% à 74,12 dollars. À New York, le baril de West Texas Intermediate gagnait 0,37% à 71,38 dollars.

S&P 500 4649,23 +81,21.