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Selon Marcus Weston de JK Capital Management, une société du groupe La Française, la majorité des risques sont déjà inclus dans les prix.

Les profils financiers des groupes bancaires resteront robustes malgré les répercussions d’une absence d’accord sur le secteur.

Certains commentateurs mettent l'accent sur la vigueur de la croissance mondiale, stimulant les bénéfices et encourageant l’investissement.

Le marché a tendance à sous-estimer la capacité des entreprises des marchés émergents à maintenir leur rentabilité.

Le G20 sera dominé par les tensions sino-américaines. Le high yield et les émergents sont pénalisés par le regain d’aversion pour le risque.

Les investissements dans l’immobilier résidentiel sont extrêmement attrayants et pas seulement aujourd’hui.

Andrew Milligan, responsable de la stratégie mondiale, identifie cinq facteurs qui façonneront le paysage de l'investissement l’an prochain.

Les banques européennes et asiatiques ont été plus lentes à augmenter leurs dépenses informatiques pour relever les défis de l'ère des technologies de l'information.

Le scénario le plus plausible est que l'accord sera finalement ratifié le mois prochain, mais probablement pas dès la première tentative le 10 décembre.

«Les fondamentaux vont reprendre le dessus», estime Christopher Hillary, CEO de Roubaix Capital.