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Cette semaine marque le point culminant de la saison des résultats du troisième trimestre aux États-Unis. L’impact des conflits commerciaux et le raffermissement du dollar seront au centre des préoccupations.

L'accélération perçue par les acteurs du marché au premier semestre de cette année découle d'une révision à la baisse de la croissance du PIB au quatrième trimestre de l'année dernière.

La forward guidance de la BCE sur les hausses de taux va évoluer de manière pragmatique au cours des prochains mois pour se faire plus précise à l’approche de l’été 2019.

La question s’est souvent posée de savoir si un changement de majorité au profit des Démocrates pourrait conduire à la destitution de Donald Trump.

«L’inflation des pays émergents est descendue de 6% à 4%», estime Anujeet Sareen de Brandywine Global, une filiale de Legg Mason.

Quelques refléxions de Randal Quarles sur l’état de l’économie américaine lors du déjeuner du New York Economic Club.

Les tergiversations autour du Brexit en Europe et le rejet du budget italien ne donnent pas forcément envie de jouer le pari des actions domestiques européennes.

Sur quel modèle ce président et son administration se basent-t-ils? Apparemment aucun, c’est bien ce qui fait son originalité.

«La digitalisation est dominée par de bonnes sociétés européennes à intégrer dans le stock picking», estime Anis Lahlou-Abid de JP Morgan AM.

Les investisseurs devraient profiter de la correction pour rééquilibrer leur allocation d'actifs.