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«Alors que tous les pays seront à terme plus affaiblis, l'économie américaine est particulièrement vulnérable», souligne Christine Lagarde.

La guerre commerciale du Président des États-Unis Donald Trump, faite d'abord de pure façade et de vantardise, vient de devenir vraie.

Le protectionnisme inconsidéré de Trump ne fait pas grand-chose pour aider la classe ouvrière qui a favorisé son élection.

Si l’IA est utile pour certaines tâches, les attentes envers cette technologie sont parfois exagérées, juge Daniel Seiler, directeur de Vescore.

L'escalade des différends commerciaux pourrait aboutir à des marchés mondiaux plus ouverts, du moins parmi les pays stratégiquement alliés ayant des intérêts similaires.

Que ce soit dû au hasard ou que ce soit le résultat d'une stratégie délibérée, Trump pourrait rejouer le scénario suivi par Reagan.

De part et d'autre de la Manche, les réponses de Chris Bowie de TwentyFour Asset Management et d'Alan Mudie de Société Générale Private Banking. 

La fin de l'assouplissement quantitatif de la BCE pourrait renforcer la valorisation des marchés financiers.

D’un point de vue écologique, les îles de plastique, le smog, les eaux polluées et les changements climatiques sont devenus le problème de tous.

Le risque politique est déjà intégré dans les prix, estime Antonio Ruggeri chez SYZ Asset Management.