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Les changements importants qui détermineront l'impact économique à long terme de la sortie du Royaume-Uni de l'UE auront lieu après le 31 décembre 2020.

Les indices conjoncturels sont de plus en plus verts mais les États-Unis présentent une forte dispersion des prévisions pour cette année. Les entreprises risquent d’opter pour l’attentisme.

L’or noir reste déterminant, et bon marché.

Les Britanniques ont fait un choix politique plus qu’économique. Cette dimension politique va encore conditionner les choix qui seront faits par Boris Johnson.

Les marchés des actions affichent des corrections plus qu’attendues et plus que saines. Les cours pourraient baisser de 4 à 6% ces 4 à 8 prochaines semaines.

«Attendons fin mars pour avoir plus de clarté sur l’identité du candidat démocrate» déclare Maria Paola Toschi de J.P. Morgan AM.

Les Français ont compris, à défaut de l’accepter, qu’un durcissement des conditions de départ en retraite était inéluctable.

«Les jeux sont plus ouverts que ne le pensent les investisseurs» estime Didier Borowski d’Amundi.

Chronique Blockchain. La tokénisation permet de cumuler les avantages d’un protocole blockchain, notamment l’absence de papier.

Certes tragique, le coronavirus devrait avoir un impact à court terme. Les investisseurs ne doivent pas perdre de vue des facteurs fondamentaux, tels que les bénéfices des entreprises.