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Les chances d'une hausse durable des prix du pétrole sont encore faibles.

Les conditions de l'année dernière ressemblaient étrangement à celles qui prévalaient à l'approche des récessions passées.

Il est peu probable que les prix du pétrole effectuent une réelle hausse, car la demande reste faible et les capacités de stockage supplémentaires sont rares.

La combinaison d'un ralentissement du taux de nouvelles infections par le COVID-19 et d'une mesure importante de la Fed a donné un élan supplémentaire aux marchés des actions.

Il n'est pas surprenant que la pandémie de coronavirus commence à affecter les indicateurs économiques.

L'indice de volatilité américain VIX a bondi au-dessus de 80 points et a dépassé le niveau observé pendant la crise des marchés financiers.

Le coronavirus commence à devenir un stress test non seulement pour les systèmes de santé de nombreux pays, mais aussi pour l'économie mondiale.

Le risque que le consensus tablant sur un sévère mais bref impact du coronavirus sur la croissance puis un redressement total au cours de l’année se révèle trop optimiste ne doit pas être ignoré.

Alors que l'évaluation de la situation actuelle s'est quelque peu détériorée, la composante «attentes» a augmenté.

Les investisseurs en actions à long terme continuent d'acheter la baisse et les flux de fonds restent favorables.