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A 15h00, la plus importante cryptomonnaie se négociait à 19’142,69 dollars, en repli de 3,65%.

Le DFJP a confirmé l’ouverture de ces poursuites, dont la RTS s’était faite l’écho lundi soir. Il n’a pas précisé l’identité des employés concernés pour des raisons de protection de la personnalité.

En limitant l’acceptation des devises numériques aux seules transactions en ligne, rendant ainsi possible la conversion quasi immédiate en monnaie fiduciaire, le projet «limite considérablement les risques».

La société dit compter plus de 100’000 créanciers. Sa plus grosse dette a été contractée auprès du fonds Alameda Research, créé par Sam Bankman-Fried, également à la tête de FTX.

A en croire les experts, les perspectives de récession de l’économie mondiale mettent à rude épreuve le moral des entrepreneurs crypto.

Depuis la publication de ses recommandations en la matière il y a trois ans, le Groupe d’action financière constate que seuls «des progrès limités» ont été faits pour renforcer les réglementations nationales.

Vers 09h00, la plus célèbre des cryptodevises a glissé tout près des 19’900 dollars sur la plateforme de négoce luxembourgeoise Bitstamp, avant de se reprendre quelque peu.

Son plus éminent représentant, le bitcoin, a glissé samedi à son plus bas niveau depuis fin 2020 à environ 17’600 dollars, entraînant dans son sillage l’ensemble du marché crypto.

Les activités se déroulent sans entrave, affirme ce mardi la société basée à Zoug.

La reine des cryptodevises a frôlé dans la matinée la marque symbolique des 20’000 dollars.