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Le nouveau CEO Sergio Ermotti indique que la banque attend toujours l’approbation des autorités de surveillance aux USA, dans l’UE ainsi que dans d’autres pays importants.

Les élus ont accepté des motions du Parti socialiste demandant notamment de durcir les normes sur les fonds propres et d’interdire le versement de primes aux étages supérieurs de la hiérarchie.

Le cabinet d’avocats californien Quinn Emanuel Urquhart & Sullivan indique avoir conclu des accords de collaboration avec divers homologues, dans le cadre de sa procédure contre l’amortissement complet des emprunts AT-1 de Credit Suisse.

«Les récents événements justifient la nécessité de réexaminer la réglementation et la surveillance des banques», a expliqué vendredi Thomas Jordan.

L’actuel Deputy Global CIO accède également au poste de président du comité d'investissement, suite au départ de Michael Strobaek.

Légère accélération de l’activité économique mondiale. Nette progression des actions. Contribution positive au rendement de toutes les classes d’actifs principales de l’indice CS des caisses de pension.

L’indice CS CFA s’est redressé à -33,3 points en avril après -41,3 points en mars, pour un 14e mois sous l’équilibre soit le signe d’une détérioration conjoncturelle.

Ajusté de ces effets, le bénéfice avant impôts sous-jacent est ressorti à un peu plus de 2,35 milliards de dollars, soit 22% de moins qu’un an plus tôt.

«UBS est prêt pour la reprise de Credit Suisse», a assuré l’ancien et nouveau CEO Sergio Ermotti dans le cadre de la présentation des résultats de la banque au premier trimestre.

Fin 2022, l’établissement aux deux voiles affichait une masse sous gestion de quelque 1290 milliards de francs, ceux de son futur repreneur UBS s’élevant alors à 3960 milliards. Leurs actions clôturent en hausse.