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Le métal jaune s’est redressé à 2034,24 dollars, profitant de la faiblesse du dollar et des rendements des obligations d’Etat américaines après le pivot de la Fed en matière de politique monétaire.

Ce vendredi après-midi, l’once d’or s’échangeait pour 2’005,28 dollars, contre 2’072,22 dollars sept jours plus tôt en fin d’échanges.

Vendredi, le métal précieux s’est hissé à un nouveau sommet depuis début mai, à 2053,30 dollars l’once, pas très loin de son plus haut de tous les temps, en août 2020, où il avait atteint 2075,47 dollars.

Vers 17h sur le LME, la tonne de métal rouge pour livraison dans trois mois s’échangeait à 8410 dollars vendredi, contre 8267 dollars à la clôture sept jours plus tôt.

Vers 18h, l’once d’or s’échange pour 1’979,11 dollars, contre 1’940,20 dollars sept jours plus tôt en fin d’échanges.

La dégradation de l’économie mondiale continue de faire pression sur les cours du cuivre malgré des inquiétudes croissantes sur l’offre.

Le prix du zinc a suivi la tendance générale à la hausse sur les marchés des métaux de base cette semaine et est repassé au-dessus de la barre des 2’600 dollars la tonne.

Vendredi à New York, la tonne de cacao a culminé à 3’893 dollars. Lundi à Londres, elle a atteint le pic de 3’385 livres. Ces sommets s’expliquent par «la baisse attendue de la production en Côte d’Ivoire», selon l’expert de Commerzbank.

Vendredi, la tonne de cacao à Londres a culminé à 3’370 livres, un pic historique depuis le début du contrat en 1989, qui dépasse donc les précédents sommets atteints pendant la guerre civile en Côte d’Ivoire.

Glencore a fait part aux 1200 employés de la mine de cuivre souterraine de Mount Isa, dans le nord-ouest du Queensland, de la fin de la production au second semestre 2025.