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Les perspectives en matière de renchérissement n’ont que peu varié, avec une modération à 2,2% contre 2,3% pour 2023. L’inflation en 2024 a été revue à la hausse à 1,8%, contre 1,6%.

Cette année, la croissance du produit intérieur brut (PIB) non corrigée des événements sportifs devrait s’inscrire à 0,8%.

Pour cette année, les prévisionnistes bâlois anticipent une progression du PIB de 0,5%, contre 0,3% jusqu’alors.

Les experts du géant bancaire tablent sur une croissance économique de 0,7% pour 2023, au lieu d’une hausse de 0,9% attendue jusqu’ici.

La croissance ajustée sur les trois premiers mois de l’année a été revue à 0,9%, contre 0,5% au premier pointage fin mai, indique lundi le Secrétariat d’Etat à l’économie.

En août, le baromètre du Centre de recherches conjoncturelles de l’EPFZ s’est établi à 91,1 points, contre une valeur révisée en légère baisse de 92,2 à 92,1 points le mois précédent.

Le produit intérieur brut (PIB) de la Confédération s’est établi à 2,6% en 2022, après une bond de 5,4% en 2021. Les précédentes estimations faisaient état d’un PIB de 4,2% en 2021, selon un communiqué des statisticiens fédéraux.

L’activité dans le bâtiment notamment s’est tassée de 6,9%, quand le génie civil affiche une érosion de 1,6%, détaille l’OFS.

Dans la majorité des secteurs économiques interrogés, la situation des affaires s'est détériorée en juillet - pour le sixième mois consécutif dans l'industrie manufacturière.

Depuis son pic du deuxième trimestre 2022, l'indicateur de l'emploi du KOF connaît une lente tendance à la baisse.