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La Banque centrale européenne promet de maintenir ses taux à leur plus bas historique au moins «jusqu’à la fin» de cette année et annonce une nouvelle série de prêts géants aux banques.

«Les pays qui utilisent la monnaie unique ne sont certes pas menacés de récession», a déjà martelé le président de l’institut monétaire, Mario Draghi. «Mais très dépendants du commerce».

Jerome Powell a rappelé que l’expansion américaine depuis 2007 n’avait atteint que la faible moyenne de 1,6% contre 3% de 1991 à 2007.

Le produit intérieur brut (PIB) a progressé l’année dernière de 2,5%, après 1,6% en 2017.

Le shutdown a eu un impact négatif limité au quatrième trimestre. L’évolution annuelle est toutefois inférieure aux attentes de la Maison Blanche.

L'activité manufacturière de la région de Philadelphie (nord-est des Etats-Unis) a ralenti en février pour la première fois depuis presque trois ans.

La BCE envisage une nouvelle salve de prêts à long terme et à taux bas en direction des banques de la zone euro, des «TLTRO», a affirmé Benoit Coeuré, membre du directoire de l’institution.

L'économie espagnole se porte bien. Cependant, des divisions à travers le paysage politique pourraient peser sur la performance économique à moyen et long terme.

Les entreprises interrogées entendent certes continuer à accroître leur activité d’investissement cette année, mais dans une mesure moindre que les années précédentes.

Graphique de la semaine de DWS. A partir de février 2016 et tout au long de 2017, le rapport entre valorisation et anxiété n'a cessé d'augmenter.