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Le montant total des dépenses s’est élevé à 686,1 milliards de dollars, soit une progression de 0,4% par rapport à mars. Les analystes anticipaient un rebond un peu plus fort, de 0,8%.

Le président de la Fed de Minneapolis juge qu’il reste du travail pour ramener l’inflation dans les clous.

L’indice Empire State de l’antenne locale de la Fed plonge de 43 points en mai par rapport à avril, tombant à -31,8.

L’indice de l’Université du Michigan chute de 9% par rapport à avril, tombant à 57,7 points. Les analystes tablaient sur un recul moins fort, à 62,9 points.

Au cours de la première semaine de mai, 264’000 personnes se sont inscrites au chômage après une perte d’emploi, soit 22’000 de plus que la semaine précédente.

L’indice PPI fait état d’un renchérissement de 0,2% en avril sur un mois, après un recul de 0,4% en mars, selon des données révisées. Une baisse des prix de 0,5% avait été initialement annoncée.

«Aux élus, aux sénateurs je dis: s’ils ne vous donnent pas des coupes massives, vous allez devoir provoquer un défaut de paiement», a lancé le républicain, candidat à l’élection de 2024.

Les prix à la consommation ont augmenté de 4,9% sur un an, contre +5,0% en mars, selon l’indice CPI publié mercredi par le département du Travail. Les analystes tablaient sur un taux inchangé.

«Nous n’avons pas décidé de ce que nous allions faire lors de nos prochaines réunions. L’évolution de l’économie affectera évidemment nos décisions», déclare le président de la Fed de New York..

La vigueur du marché du travail est le reflet d'une économie très résistante et robuste et est cohérente avec une série d'indicateurs de prix et de salaires qui semblent bloqués autour de 4-5%.