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Dans sa précédente estimation, le département du Commerce avait annoncé une progression de l’économie américaine de 2,9%.

Le mois dernier, 4,09 millions de maisons et appartements ont changé de propriétaires en rythme annualisé, leur plus bas niveau depuis mai 2020.

L’indice général du Conference Board a grimpé à 108,3 points, contre 101,4 en novembre. Les analystes tablaient sur un fléchissement du moral à 101,2 points.

La campagne de rachat va porter d’abord sur 3 millions de barils de brut, que l’Etat américain souhaite acquérir à 96 dollars l’unité, ce qui serait une «bonne affaire pour les contribuables».

Les analystes s’attendaient à un repli de seulement 0,1% pour le mois dernier. La faute aux secteurs automobile et à celui de la construction.

Sans surprise, la banque centrale américaine relève son principal taux directeur d’un demi-point de pourcentage. Et prévient qu’il n’est pas encore temps de s’arrêter.

Les chiffres rassurant de l’inflation en novembre, publiés ce matin, devraient convaincre les responsables de la banque centrale d’entamer le virage du ralentissement de sa politique monétaire.

Cette bonne nouvelle pour les consommateurs devrait conforter la Fed, qui entame sa réunion aujourd’hui, de relever ses taux moins fort qu’au cours des derniers mois.

«Sam Bankman-Fried a construit un château de cartes fondé sur la tromperie tout en disant aux investisseurs qu’il s’agissait de l’un des établissements les plus sûrs de la cryptomonnaie», déclare le président du régulateur US.

Le département du Travail annonce une hausse des prix de gros de 0,3% sur un mois, alors que les analystes tablaient sur une progression de seulement 0,2%.