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Les réserves ont reculé de 3,4 millions de barils, soit bien davantage que les 2 millions attendus par les analystes, pour s’inscrire à 409,9 millions de barils, soit leur niveau le plus bas depuis octobre 2018.

L’estimation finale du département du Commerce est presque conforme à la première estimation.

Ce n’est que la troisième fois en 21 ans, la première depuis 2019, que se produit une telle «inversion».

L’indice du Conference Board est remonté à 107,2 points (+1,5 point), après deux mois de dégradation.

A 10h15, le taux des bonds du Trésor américains pour l’emprunt à cinq ans grimpait à 2,643%. Il était donc supérieur à celui pour les bonds du Trésor à échéance trente ans qui progressait bien moins fortement à 2,595%.

Les Etats-Unis «s’efforceront» avec «des partenaires internationaux» de fournir à l’Europe 15 milliards de mètres cubes supplémentaires de GNL en 2022.

L’indice de l’Université du Michigan tombe à 59,4 points, son plus bas niveau depuis plus de dix ans.

«Je pense que nous devrons relever (les taux) de 50 points de base», soit un demi-point de pourcentage, a indiqué la présidente de la Fed de Cleveland Loretta Mester.

Durant la semaine achevée le 18 mars, les réserves de brut ont fondu de 2,5 millions de barils, soit plus du triple des 750’000 barils attendus par les analystes, pour s’établir à 413,4 millions de barils.

Le président de la Réserve fédérale indique que «les perspectives d’inflation s’étaient considérablement détériorées cette année avant même l’invasion de l’Ukraine par la Russie».