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Ces difficultés, associées à une demande de la part des consommateurs qui reste forte, ont fait flamber les prix, a souligné la banque centrale dans son Livre beige.

Les réserves de brut ont baissé de 0,4 million de barils durant la semaine achevée le 15 octobre alors que les analystes tablaient sur une montée de 2 millions de barils.

Vers 11h30, le Brent perdait 0,88% par rapport à la veille, à 84,33 dollars à Londres. À New York, le WTI abandonnait 0,86% à 82,25 dollars.

Le WTI termine à son plus haut niveau depuis le 13 octobre 2014, en hausse de 0,63% à 82,96 dollars, et le Brent finit sur un gain de 0,88% à plus de 85 dollars.

Le mois dernier, 1,555 million de maisons et immeubles ont commencé à être construits, soit 1,6% de moins qu’en août et alors que les analystes tablaient sur 1,620 million de mises en chantier.

En termes nominaux, l’évolution a été de +3,7% par rapport au trimestre précédent, et en termes réels, c’est-à-dire corrigé de l’inflation, de +2,5%.

Le baril londonien termine en baisse de 0,62% à 84,33 dollars tandis que celui de New York grappille 0,20% à 82,44 dollars.

Le baril coté à New York atteint en séance 82,49 dollars, avant de clôturer sur un gain de 1,19% à 82,28 dollars. Le Brent finit de son côté en hausse de 1,02% à 84,86 dollars.

L’indice de l’Université du Michigan affiche 71,4 points, contre 72,8 points en septembre. Les analystes s’attendaient à ce que le moral des ménages remonte légèrement à 73,0 points.

Le total des ventes s’est élevé à 624,5 milliards de dollars, en progression de 0,7% par rapport à août, alors que les analystes s’attendaient à un repli de 0,3%.