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«Aujourd’hui, on peut entrer en contact avec tout le monde et prendre la parole. Sans avoir à passer par des institutions existantes», déclare le patron du réseau social.

Le réseau social a toutefois évité une catastrophe boursière comme celle qu’il a connue cet été.

Quatre fonds publics d'investissement ont rejoint les investisseurs qui réclament le remplacement de Mark Zuckerberg au poste de président du conseil d'administration de Facebook.

Le réseau social révèle un piratage de 50 millions de comptes en raison d’une faille de sécurité.

Peu avant 18h, Twitter plongeait de 5%, Facebook perdait 1,7%, Alphabet (maison-mère de Google) lâchait 2,4% et Snap glissait de 4,6%.

Un partenariat avec Facebook permettrait aux banques de combler le fossé grandissant avec les start-up spécialisées dans la finance.

Le titre redevient plus attrayant mais les investisseurs devraient attendre de disposer d’une plus grande marge de sûreté.

Les paramètres par défaut de Facebook et Google sont le plus souvent les moins respectueux de la vie privée. En outre, les utilisateurs les changent rarement.

Les annonceurs souhaitant diffuser des annonces de produits ou services devront soumettre une demande visant à évaluer leur éligibilité.

Toutes les publicités liées à des élections et à des sujets d’intérêt général doivent être clairement identifiées. Les mesures sont appliquées dès aujourd’hui aux Etats-Unis.