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Les dégagements sur le Nasdaq, la nette reprise des cas en Europe et les atermoiements sur le budget américain ont cueilli les investisseurs à froid.

La résurgence des cas aux États-Unis depuis début juin constitue un stress test majeur des scénarios constructifs.

La reprise est devenue la priorité absolue, même si sa trajectoire reste modulée par les exigences sanitaires.

Les questions se bousculent au sujet des conséquences politiques, fiscales, sociales, économiques et financières de la crise.

L’économie mondiale étant fermée pour sauver des vies, il est inutile de tenter une interprétation des indicateurs économiques.

La crise du coronavirus est en passe de provoquer la plus sérieuse dislocation économique et financière depuis 2008.

Après avoir été décrits comme «complaisants» face aux risques économiques liés au coronavirus, les investisseurs paniquent.

Loin de signaler un enthousiasme excessif, la dynamique boursière récente pose la question de la valorisation des actions.

Le pessimisme excessif a été corrigé. La baisse des angoisses sur les fronts du Brexit et de la guerre commerciale a beaucoup compté.

Le débat fait rage à propos des conséquences pour les marchés de la forte baisse récente des taux d'intérêt à long terme.