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Une étude, réalisée avec le soutien de Raiffeisen, explique comment la possibilité d’investir dans des placements respectueux du climat impacte la contribution aux mesures publiques qui visent à le protéger.

Giancarlo Giorgetti estime que «la viabilité de la dette publique» est le «défi le plus important» à relever par la péninsule.

Les marchés secondaires, la dette privée et les infrastructures sont considérés comme les meilleures opportunités de croissance, selon une enquête de Goldman Sachs Private Markets.

«Seul un très petit nombre d'investisseurs alloue des fonds sur l'ensemble des opportunités offertes par les obligations émergentes», explique Simon Lue-Fong.

Une récente enquête de Lombard Odier montre que seuls 24% des investisseurs romands pensent que les actifs privés ont pu contribuer à protéger leurs avoirs des turbulences des marchés, contre 43% en Suisse alémanique.

«Les consommateurs seront d’autant plus encouragés à investir sur les marchés de capitaux européens qu’ils auront davantage confiance en ceux-ci, se sachant dûment protégés et traités équitablement», a déclaré le vice-président de la Commission, Valdis Dombrovskis.

Au total, 2,58 millions de personnes étaient au chômage en avril, selon les données brutes.

«Les résultats de l’enquête révèlent que les investisseurs fortunés en Suisse sont de plus en plus conscients que la durabilité joue un rôle important dans l’économie», commente Philippe Gay, responsable de l’offre pour le marché suisse chez Lombard Odier.

Le baromètre mensuel de l’institut ZEW perd 9 points par rapport à mars, atteignant un niveau de 4,1 points. Les analystes tablaient sur une légère hausse à 14,5 points.

La Fondation et 21 investisseurs ont envoyé une lettre aux parlementaires et au Conseil fédéral afin qu’ils adoptent une législation exhaustive pour les entreprises en matière de respect des droits humains et de l’environnement.