Allnews

Il s'agit d'un portefeuille d'obligations d'entreprises internationales émises par des sociétés qui s'efforcent de contribuer à la réalisation d'objectifs environnementaux et durables.

Cette tablette de chocolat que vous avez achetée? Elle pesait 100 grammes, elle en pèse maintenant 90, mais son prix est resté inchangé.  C'est ce qu'on appelle la «shrinkflation» et elle revient en force.

Les obligations de qualité supérieure et de plus longue durée ont sous-performé car leurs rendements dépendent davantage des taux américains.

Parallèlement, Rhys Petheram est nommé responsable des solutions environnementales.

Une politique monétaire souple et une forte relance budgétaire au niveau mondial devraient être très favorables aux pays émergents et aux marchés des matières premières.

Les grandes entreprises peuvent mieux naviguer dans les cycles économiques (tant les hauts que les bas) que les entreprises mal gérées ou indifférenciées.

Les «facilitateurs» ouvrent la voie à l'innovation technologique, estime Ross Teverson de Jupiter.

L’argent est sensible aux flux de capitaux et il convient de rappeler qu’en 2011, lorsque les marchés étaient en mode «quoi qu’il en coute», l’argent a atteint 50 dollars l’once.

Guy de Blonay, gérant chez Jupiter AM, préfère investir dans les sociétés de solutions de paiement plutôt que dans les banques elles-mêmes.

S&P Global observe une réticence des établissements à accueillir le changement. Guy de Blonay (Jupiter) constate les mêmes réserves en Europe.