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L’exposition directe du célèbre assureur à la Russie et à l’Ukraine est faible mais des risques indirects existent dans les secteurs de «l’aviation, de la marine, du crédit commercial et de l’assurance du risque politique».

L’institution britannique veut pouvoir rendre désormais accessible en ligne à ses client toute une série de risques avec la possibilité de contracter une assurance très rapidement.

Le marché londonien de l'assurance vieux de plus de 300 ans annonce parallèlement une perte avant impôt divisée par deux l’an dernier.

Le bénéfice de 2,1 milliards de livres réalisé en 2016 s’est transformé l’an dernier en une perte d’un montant quasi identique. La CEO Inga Beale reconnait que l’année 2017 a été très dure.