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La situation actuelle se rapproche de celle de 2016 lorsque la croissance mondiale fléchissait à la suite du ralentissement en Chine.

Les chiffres macroéconomiques ne sont pas si mauvais sans être bons et nous voyons des poches de risques accrus.

La principale question macroéconomique est de savoir si une Fed plus accommodante et une économie américaine résiliente seront en mesure de tirer le reste de l’économie mondiale vers le haut.

Le sentiment du marché était optimiste; les valorisations, généralement peu regardées… jusqu'à ce qu'un tweet réveille les «rêveurs éveillés».

Vers 16h, l’once d’or est montée à 1510,50 dollars, soit une hausse de 2,4% par rapport à mardi soir.

La croissance économique montre de fragiles signes de stabilisation mais d'importantes divergences sont visibles entre différentes régions du monde.

Les banques centrales sont prêtes à faire «tout ce qui est nécessaire» pour réduire le risque de récession. Elles sauveront une fois encore les marchés.

L'ambiance a radicalement changé par rapport à il y a moins d'un an, lorsque la croissance globale du bénéfice par action des entreprises du S&P 500 était de 27%.

Nous attendons que la Fed baisse ses taux directeurs pour croire un peu plus en un résultat positif de la «marche impériale» que mène la Chine.

Le contexte macroéconomique et financier actuel est différent de celui de l’époque.