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La semaine dernière, les réserves de brut ont bondi de 7,9 millions de barils, alors que les spécialistes interrogés par Bloomberg tablaient sur un repli de 1,9 million de barils.

Le Brent lâche 4,0%, pour finir à 34,74 dollars et le WTI abandonne 4,5%, pour clôturer à 32,81 dollars.

Le Brent clôture en hausse de 1,8% à 36,17 dollars et le WTI finit sur un bond de 3,3% à 34,35 dollars.

Le Brent grimpe de 3,03% à 35,70 dollars peu avant 18h, et le WTI gagne 4,04%, à 33,25 dollars.

Les réserves de brut au 15 mai affichent une chute de 5,0 millions de barils. Les spécialistes tablaient au contraire sur une hausse médiane de 2,15 millions.

«L’excédent est davantage contenu que ce que pouvait craindre le marché», remarque Eugen Weinberg, analyste chez Commerzbank.

Eolien, solaire, biomasse ou hydro-électricité... ces sources d’énergie ont, selon l’AIE, fait preuve d’une résistance impressionnante en ces temps de crise.

Le Brent termine sur une perte de 16 cents à 34,65 dollars et le WTI finit sur un gain de 68 cents à 32,50 dollars.

Le marché est aidé par la perspective d’une reprise de la demande à mesure que les pays se déconfinent et relancent leurs économies.

Le Brent grimpe de 4,4% pour terminer la séance de vendredi à 32,50 dollars. Le WTI bondit de près de 6% pour finir à 29,43 dollars.