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Le Brent termine sur un envol de 3,13% à 96,59 dollars et le WTI finit sur une grimpée de 2,71% à 90,50 dollars.

La tendance baissière de l’or noir pourrait se poursuivre, selon les analystes. «Les perspectives de la demande souffrent des craintes de récession, le dollar est trop fort et les importations chinoises trop faibles», énumère Giovanni Staunovo d’UBS.

Afin de garantir l’approvisionnement en brut, l’Office fédéral pour l’approvisionnement économique du pays (OFAE) a décidé de réduire la quantité de réserves obligatoires de 12,8% dès lundi prochain.

Le Brent clôture sur un gain de 1,41% à 93,65 dollars et le WTI finit sur une grimpée de 1,82% à 88,11 dollars.

Durant la semaine achevée le 12 août, les réserves d’or noir ont fondu de 7,1 millions de barils, alors que les analystes tablaient sur une hausse de 800’000 barils.

La perspective de plus en plus palpable d’un accord sur le nucléaire iranien plombe le prix du baril new-yorkais de plus de 3% à 86,53 dollars. Le Brent lâche 2,90%, à 92,34 dollars.

Le cours du baril coté à New York finit sur un recul de 2,91% à 89,41 dollars. Celui du Brent termine sur une chute de 3,10% à 95,10 dollars.

En fin de séance, le Brent affiche une perte de 1,45% à 98,15 dollars, après une incursion au-dessus des 100 dollars, et le WTI abandonne 2,38% à 92,09 dollars.

Le Brent termine proche de la barre des 100 dollars, avec une montée de 2,25% à 99,60 dollars, et le WTI finit sur une grimpée de 2,62% à 94,34 dollars.

La demande mondiale devrait ainsi atteindre 99,7 mb/j en 2022 puis 101,8 mb/j en 2023, surpassant alors les niveaux pré-COVID.