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La décision reflète, selon UBS, sa politique d’évaluation précautionneuse de l’ensemble des facteurs, ainsi que l’évolution de la valorisation réglementaire de ses instruments financiers.

Le numéro un bancaire helvétique anticipe désormais une progression de l’économie de 2% pour l’année en cours, contre 2,1% jusqu’alors.

Après 2,5% cette année, la croissance du PIB vaudois ne devrait plus afficher que 1,4% en 2023.

Le PIB a progressé de 0,2% par rapport au trimestre précédent, après une augmentation de 0,1% au trimestre précédent (chiffre révisé). En comparaison annuelle, la croissance a pris 0,5% au troisième trimestre.

L’indice, calculé sur la base de sondages d’entreprises, s’est légèrement redressé à 47,8, après 47,3 en octobre. L’économie se contracte malgré tout pour le cinquième mois consécutif.

La hausse des prix à la consommation est notamment tirée par l’énergie et l’alimentation.

Ces chiffres marquent un net ralentissement par rapport à la croissance du deuxième trimestre qui a atteint 0,8% dans la zone euro et 0,7% dans l’UE.

Sur un an, le PIB croît de 1,2%, en données corrigées des prix et effets de calendrier. Au deuxième trimestre, l’indicateur avait stagné, à 0,1%, selon une valeur révisée à la hausse par Destatis.

La guerre en Ukraine, les sanctions contre la Russie ainsi que la hausse des prix des matières premières et de l’énergie ont exacerbé plusieurs déséquilibres déjà présents.

La première économie européenne s’efforce de réduire sa dépendance aux importations énergétiques russes