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La hausse de l’inflation mondiale qui a suivi la crise de la COVID et les efforts déployés par les banques centrales des pays développés pour rattraper leur retard ont fait chuter les obligations mondiales et renforcé l’USD.

En l’espace de 12 mois, la Réserve fédérale américaine a augmenté ses taux directeurs de 475 points de base, portant le taux des fonds fédéraux dans la fourchette de 4,75% à 5,00%.

A court terme, les investisseurs doivent surveiller de près les nouvelles politiques en faveur de la reprise du secteur de l’immobilier et de la confiance des consommateurs.

Sur fond d’une nouvelle ère de l’investissement, les investisseurs doivent reconsidérer attentivement leur processus d’élaboration de portefeuille et remanier leur exposition.

Jamais depuis le début des années 2000, les investissements dans les marchés émergents n’avaient été aussi faibles, juge Damien Buchet, CIO de Finisterre.

Les cycles historiques suggèrent que les marchés baissiers sont généralement de courte durée et que rester investi dans un portefeuille diversifié pendant les périodes de baisse reste probablement la meilleure stratégie.

Les événements des années 1970 ont appris aux banquiers centraux à prendre très au sérieux les risques d’inflation. Que les investisseurs prennent garde: la tâche de Powell n’est pas terminée.

Deux grands marchés se distinguent: les Etats-Unis et l’Inde.

La Réserve fédérale restant centrée sur l’inflation, une reprise rapide est peu probable, ce qui constitue un autre obstacle pour l’économie américaine en 2023.

Alors que la résilience économique de 2022 a conduit certains à penser que les Etats-Unis éviteront la récession en 2023, les principaux indicateurs de marché indiquent le contraire.