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Les bourses ont fait une pause lors de la semaine sainte. L’or reste en revanche prisé et grimpe vers des sommets record. Un signe qui incite toutefois à la prudence, tout comme le ralentissement économique.

L’agence de notation souligne l’excellente capitalisation, la position forte sur le marché et la qualité robuste des prêts.

Les marchés se trouvent dans une phase de privation sévère et il faudra avoir de la patience et des nerfs d’acier.

En mars, l’indice PMI PME de Raiffeisen a franchi le seuil de croissance pour s’établir à 51,6 points, soit 1,9 point de plus par rapport au mois précédent, rapporte une étude parue lundi.

Premiers dégâts collatéraux. Nous tablons sur une volatilité élevée persistante sur les marchés financiers et continuons à recommander d’opter pour un positionnement tactique défensif.

La peur d’une crise financière 2.0 s’estompe, ce qui donne des ailes aux bourses. Le danger n’étant toutefois pas pour autant écarté, les investisseurs doivent rester prudents.

La réalisation de cette connexion constitue une condition à l’extension convenue du partenariat entre les deux sociétés jusqu’en 2030, contre 2026 actuellement, rappelle la firme zurichoise.

Il y a une semaine, le principal actionnaire, Raiffeisen Suisse, avait annoncé qu’il se prononcerait contre cette introduction dans les statuts.

Avec la meilleure volonté du monde, je ne peux pas imaginer que le rachat forcé de Credit Suisse par UBS soit une œuvre suisse.

Le rachat de Credit Suisse par UBS fait la Une de l’actualité boursière, alors que les taux d’inflation élevés et la politique monétaire restrictive restent les véritables défis de l’économie mondiale.