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A fin juin, l’établissement basé à Zurich gérait 15,4 milliards de francs, ce qui représente une progression de 9,2% sur six mois.

Les deux établissements familiaux élargissent leur offre dans le private equity.

L’établissement zurichois a réalisé une bonne collecte d’argent et augmenté sa masse sous gestion, malgré la chute boursière de décembre. Les recettes, la rentabilité et le bénéfice se sont envolés.

Malgré un contexte de marché difficile au quatrième trimestre, 2018 est marquée par le maintien de la croissance organique.

L’an dernier, le bénéfice net a augmenté de 23% à 303 millions d’euros tandis que les revenus ont crû de 3% à 1,98 milliards d’euros.

Le CEO explique la contre-performance par «deux reflux de fonds spécifiques pour des raisons liées à leur propre situation financière».

La banque a annoncé mardi le départ prochain de son actuel président David de Rothschild (photo). Il sera remplacé par son fils Alexandre.

Le bénéfice net de l’entité dirigée par Nigel Higgins et Olivier Pécoux a bondi d’un tiers l’an dernier.