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Alors que les analystes tablaient sur 127’000 postes créés, l’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab en dénombre seulement 103'000, contre 113’000 en octobre.

Alors que les analystes tablaient sur 130'000 postes créés, l’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab en annonce seulement 113'000.

Il s’agit du plus faible rythme de croissance observé depuis janvier 2021 et il marque une «accentuation du ralentissement», indique la cheffe économiste d’ADP Nela Richardson.

Ces chiffres «correspondent au rythme de création d’emplois d’avant la pandémie», indique Nela Richardson, cheffe économiste d’ADP.

L’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab indique la création de 324’000 postes en juillet, ce qui marque toutefois une baisse par rapport à la poussée de juin.

Ce niveau robuste d’embauches «est bon pour l’économie et les travailleurs, mais la croissance des salaires est encore assez élevée», ce qui empêche l’inflation de ralentir, déclare la cheffe économiste d’ADP.

Au cours du premier mois de l’année, 106’000 emplois ont été créés, contre 253’000 en décembre, et alors que les analystes tablaient sur un minimum de 170'000 nouveaux postes.

Deux jours avant les chiffres officiels de l’emploi, l’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab signale le plus fort ralentissement depuis près de deux ans.

Le taux de chômage a progressé de 0,2% sur un mois en octobre à 3,7%, tandis que les nouveaux postes conservent une dynamique encore élevée, à 261’000 emplois créés.

Selon l’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab, 239’000 postes ont été créés, alors que les analystes tablaient sur une faible hausse à 195'000 nouveaux emplois.