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L’Agence internationale de l’énergie ne voit «aucun signe d’un relèvement de la production» dans les pays qui le peuvent.

L’Agence internationale de l’énergie craint pour l’approvisionnement en pétrole d’ici fin 2019.

Lors de la semaine achevée le 11 mai, les réserves commerciales de brut ont reculé de 1,4 million de barils pour s’établir à 432,4 millions.

L’Agence internationale de l’énergie maintient sa prévision de demande mondiale de pétrole en hausse de 1,5 million de barils par jour sur l’année en cours.

Selon l’Agence internationale de l’énergie, les Etats-Unis seraient en passe de devancer l’Arabie Saoudite qui de son côté s’est engagée, avec les autres pays de l’Opep, à réduire sa production pour faire grimper les prix.