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La plupart des banques privées enregistrent des revenus nettement plus élevés grâce à la hausse des taux d'intérêt.

Peu de fusions et acquisitions en 2022, mais le processus de consolidation n’est pas encore terminé, selon l’étude Clarity on Swiss Private Banks de KPMG et l’Université de Saint-Gall.

Pour Christian Hintermann de KPMG, les excellents résultats affichés par les banques privées en 2021 pourront difficilement être répétés cette année.

L’an dernier, les actifs sous gestion ont connu une hausse record de 373 milliards, à 3’263 milliards de francs au total, selon l’étude Clarity on Swiss Private Banks de KPMG et l’Université de Saint-Gall.

Les grandes banques privées sont celles qui ont récolté le plus d’argent, avec une hausse moyenne de 3,4%, selon une étude de PWC.

Le nombre de banques privées opérant en Suisse est passé de 101 à 96 de début 2020 à la mi-2021.

Lombard Odier, Pictet, Edmond de Rotshchild, Reyl et Hyposwiss rejoignent la plateforme blockchain Wecan Comply.

Les instituts bancaires ont été en mesure de présenter de solides résultats financiers pour ce premier semestre 2020.

«Sans accord, les relations avec l’Union européenne continueront à se dégrader comme une route mal entretenue», indique Yves Mirabaud, président de l’ABPS.

Les charges d’exploitation sont toutefois encore trop élevées chez de nombreux établissements, signalent KPMG et l’Université de Saint-Gall.