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Les députés britanniques se prononcent aujourd'hui sur la possibilité de sortir de l’UE sans aucun accord, alors qu’il reste seize jours avant la date prévue du divorce.

«Nous avons fait tout ce que nous avons pu pour aider» Theresa May, a déclaré Bruxelles après le rejet de l’accord de divorce par le Parlement britannique qui propulse le pays vers une séparation brutale.

A quelques heures d’un vote crucial des députés, Geoffrey Cox déclare que le risque juridique d’un backstop demeure, malgré les garanties de Theresa May.

Geoffrey Cox anéantit l’euphorie suscitée par Theresa May hier soir et la devise britannique perd environ 1,5% face au dollar et 1,3% face à l’euro vers 12h40.

Les députés britanniques se prononcent aujourd'hui sur l’accord de divorce avec l’UE, après les garanties de dernière minute que Theresa May a annoncé avoir décrochées.

Le ministre des Finances Philip Hammond va dévoiler ses orientations budgétaires mercredi au milieu d’une série de votes cruciaux pour l’avenir du pays.

«Nous avons discuté tout le week-end et désormais les discussions, les négociations, sont entre le gouvernement à Londres et le Parlement à Londres», a déclaré Michel Barnier.

«L’UE s’engage à donner au Royaume-Uni la possibilité de quitter unilatéralement le territoire douanier unique», a déclaré Michel Barnier.

Londres n’a pas obtenu les concessions de l’Union européenne dont le Royaume-Uni estime qu’elles pourront faire pencher la balance en faveur de ce texte.

La Commission européenne indique que de nouvelles «discussions techniques» se poursuivraient cette semaine.