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A la Bourse de Hong Kong, l’indice composite Hang Seng a terminé sur une chute de 3,1%, soit 943,85 points, à 29.507,42 points. Il a dégringolé de 9,60% sur la semaine.

En clôture, l’indice composite shanghaïen a lâché 4,05%, après avoir perdu jusqu’à 5,85% en séance. Shanghai aura perdu près de 10% sur l’ensemble de la semaine. La Bourse de Shenzhen a vu son indice composite finir en baisse de 3,19% vendredi.

Rex Tillerson a insisté auprès de Yang Jiechi pour que la Chine en fasse davantage. Les deux hommes ont également réaffirmé l’engagement de Donald Trump et de Xi Jinping en faveur du maintien de la pression contre les programmes nucléaire et balistique illégaux de la Corée du Nord.

L'indice Hang Seng, en repli depuis cinq séances, a gagné 0,42% (128,07 points) pour terminer à 30.451,27 points, malgré des inquiétudes persistantes quant à la volatilité des cours.

Pékin s’apprête à lancer un contrat à terme sur le pétrole libellé en yuans et convertible en or. Coup de tonnerre dans le ciel déjà tourmenté du roi dollar.

Un ralentissement de la croissance du PIB à 6,5 % est à prévoir en 2018. Dégonflement du secteur immobilier et désendettement de la vieille économie.

  La Chine ne représente plus aujourd’hui que moins de 1% des échanges mondiaux de cryptomonnaies, alors que les grandes plateformes chinoises accaparaient en août plus d’un cinquième du volume planétaire de bitcoins.

Les sorties de capitaux ont diminué de plus de moitié l’an dernier.

Le marché chinois opte pour la prudence avant plusieurs annonces macro et micro-économiques.

L'émission d'obligations offshore a doublé en 2017. La tendance va se poursuivre cette année, en particulier pour les sociétés financières et technologiques.