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Compte tenu du prix d’introduction de 10,30 francs par action, la capitalisation boursière de l'entreprise en mains de VT5 s’élève à environ 267 millions de francs. Le titre clôture sur une bond à 11,40 francs.

«Les exigences boursières coûtent entre 0,3 et 0,5 million de francs par an, mais il n’y a pas de véritable valeur ajoutée pour les parties prenantes», déclare le CEO au journal «L’Agefi».

L’opération, qui doit encore recevoir le blanc-seing de la Finma, devrait permettre à l’entreprise de proposer aux investisseurs un «véhicule d’investissement solide avec des rendements appropriés».

La demande de cotation a été approuvée par SIX Swiss Exchange sous réserve de l’autorisation de distribution de détail de l’Autorité de surveillance des marchés financiers (Finma).

La plateforme technologique zougoise avait annoncé le 8 août avoir conclu un accord avec des investisseurs lui assurant l’accès à des liquidités dans un court délai, mais sans en préciser le montant.

Il a été décidé de ne pas introduire en bourse le fonds au quatrième trimestre 2023 en dépit des préparatifs effectués, car sa volatilité pourrait s’accroître fortement en cas de cotation.

L’IPO de la filiale de microprocesseurs du japonais SoftBank, dirigée par Rene Haas, pourrait rivaliser avec la pharaonique cotation du chinois Alibaba en 2014.

«Nous n’avons pas encore décidé quand et où nous entrerons en bourse, mais le mandat donné par nos actionnaires prévoit une cotation d’ici 2026», déclare la CEO Cristina Scocchia.

Le chimiste de spécialités avait recensé dans son rapport annuel 2020 des provisions qui n’auraient pas dû l’être. La décision remonte au 13 juin et le délai de recours étant désormais échu, la sanction entre en vigueur.

L’établissement argovien, déjà présent sur la place zurichoise, crée ainsi les conditions nécessaires à l’activité de courtage sur son application Neon.