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La valeur nette d’inventaire se situait quant à elle fin septembre à 809 millions de francs, en léger repli de 1,1% comparé à fin décembre 2022, a détaillé l’entreprise.

Les revenus locatifs ont progressé de 7,2% sur un an à 32,9 millions de francs au premier semestre, portés par des hausses de loyers et une baisse du taux de vacance à 4,4%, contre 6,5% en première partie de 2022.

La valeur nette des actifs s’est hissée à 827 millions de francs à fin mars, contre 818 millions à fin décembre 2022. La dette est restée quasiment stable sur la même période, à 595 millions.

Les revenus des loyers ont augmenté de 4,9% à 61,5 millions de francs en 2022, a indiqué le groupe zurichois. Les recettes ont notamment progressé grâce à un taux d’occupation plus élevé.

Les revenus locatifs entre janvier et septembre pour leur part se sont établis à 46,9 millions alors que sur les six premiers mois, la firme avait enregistré 30,7 millions.

Les revenus locatifs ont progressé de 8,5% à 30,7 millions de francs, sous l’effet notamment d’un amenuisement de 1,1 point de pourcentage du taux de vacance à 6,5%.

Les travaux devraient durer jusqu’en 2025. Le complexe de 43’000 mètres carrés est destiné à accueillir des activités industrielles, en particulier dans les domaines de la biopharmaceutique et des sciences de la vie.

Les titres de surallocation seront émis par l’entreprise zurichoise à partir du capital autorisé dans le cadre d’une augmentation de capital qui devrait être réalisée «le 28 juin 2022 ou autour de cette date».

Après une ouverture au prix d’émission de 68 francs, le titre de la société immobilière a oscillé autour de l’équilibre avant de terminer en léger repli à 66,90 francs.

 «C’est un moment important pour notre société. Nous souhaitons la bienvenue à nos nouveaux actionnaires et nous nous réjouissons de poursuivre la réussite d’EPIC», a commenté Arik Parizer.