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La vigueur de la consommation est due, d'une part, à l'épargne excédentaire générée par la crise du COVID-19 et, d'autre part, à l'augmentation de la consommation de biens et services.

L’inflation élevée, la politique restrictive et l’incertitude forte limiteront fortement la croissance mondiale en 2023.

Sur le marché des actions, les opérateurs interagissent les uns avec les autres. L’humeur se situe, en fonction du cycle du marché des actions, entre euphorie et panique.

Ce n’est pas uniquement la guerre en Ukraine qui a précipité l’économie mondiale dans un scénario proche de la stagflation, la pandémie en Chine y a également contribué.

L'inflation a un impact direct sur la valeur réelle d'une monnaie, entraîne une diminution du revenu disponible réel, réduit le pouvoir d'achat et fait chuter la valeur réelle de l'épargne.

Les marchés obligataires reflètent bien que le tournant de la politique monétaire a commencé depuis longtemps. En effet, la majeure partie des relèvements de taux anticipés sont déjà intégrés dans les prix.

La forte reprise économique post-Covid appartient au passé.

Une nouvelle hausse des taux directeurs et des taux d’intérêt à long terme est possible.

La probabilité d’un scénario d’atterrissage en douceur reste d’actualité, mais diminue de plus en plus.

Les investisseurs le redoutent. Mais est-ce qu’une hausse des taux d’intérêt à 1, voire 2% changerait réellement grand-chose compte tenu du niveau actuel de l’inflation?