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«Ce verdict devrait marquer, espérons-le, la fin d’une période sombre pour notre industrie», déclare Yat Siu, président d’Animoca Brands.

La représentante du procureur a interrogé l’ex-star des cryptomonnaies sur une série de déclarations publiques et, à chaque fois, sur l’écart existant entre celles-ci et la situation ou le fonctionnement réel de ses sociétés.

La représentante du procureur a interrogé l’ex-star des cryptomonnaies sur une série de déclarations publiques et, à chaque fois, sur l’écart existant entre celles-ci et la situation ou le fonctionnement réel de ses sociétés.

L’ex-enfant chéri des devises numériques s’est surtout exprimé sur la création de sa société d’investissements Alameda Research, en 2017, puis de la plateforme d’échange de cryptomonnaies FTX, en 2019.

Face à la débâcle qui a entraîné un exode de capitaux et d’autres défaillances d’entreprises, le durcissement réglementaire espéré reste inachevé.

Les autorités américaines affirment que Sam Bankman-Fried a payé au moins 40 millions de dollars de pots-de-vin pour récupérer un accès à des actifs gelés.

«FTX est un très mauvais incident pour notre secteur. Cela va nous ramener en arrière, au moins pendant un à deux ans», juge Mathias Ruch, le fondateur et patron de la société de capital-risque CV VC.

L’acte d’accusation formulé jeudi par un tribunal fédéral du district sud de New York compte désormais 12 chefs, contre huit dans le précédent document.

L’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ne comprend pas cette situation. Elle affirme ne pas avoir été impliquée dans la constitution de cette liste.

La plateforme se place sous la protection du chapitre 11 suite aux retombées de la faillite de FTX.