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Il est peu probable que l’inflation soit beaucoup plus élevée au milieu de la décennie 2020 qu'au milieu de la précédente, ce qui devrait être positif pour les actifs financiers.

La diversification des portefeuilles en termes de classes d’actifs comme de régions demeure indispensable.

Une question clé pour les investisseurs est de savoir si, en période de récession, la baisse des rendements obligataires continuerait de soutenir les marchés boursiers. Nous pensons que c'est une possibilité.

Les périodes de confinement successives ont conduit à la constitution d’un stock d’épargne excédentaire important qui devrait durablement soutenir la consommation des ménages.

Si le Royaume-Uni a sans doute un problème d’inflation plus persistante que la zone euro et les États-Unis, l’inflation globale devrait ralentir à partir du mois prochain.

Compte tenu du repli attendu de l’IPC du secteur du logement, la Fed peut se montrer de plus en plus confiante quant à un recul persistant de l’inflation.

Si l’inflation reste élevée, les baisses anticipées par le marché pourraient ne pas se concrétiser. Il y a toutefois des raisons de penser que l’inflation continuera à diminuer.

Les tensions récentes dans le secteur financier pourraient accentuer ce resserrement du crédit.

Les banques avaient déjà durci les conditions d’octroi de prêts et l’agitation récente pourrait se traduire par un nouveau resserrement des conditions de crédit.

Le «signal prix» a fait ses preuves pour entraîner un changement rapide de comportement en termes de consommation d’énergie et d’émissions de gaz à effet de serre.