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Après les perturbations généralisées causées par la forte augmentation des taux d’intérêt de l’année dernière, les marchés s’attendaient à un certain répit cette année.

Nous passons maintenant d'une période où le Trésor a réduit ses comptes globaux (de l'ordre de 360 milliards de dollars au cours des cinq premiers mois de cette année) à une période où il doit reconstituer ses réserves.

Un grand changement structurel est en cours, où les marchés des taux des pays développés vont commencer à sous-performer les marchés émergents.

L'impératif de l'investissement durable n'a jamais été aussi grand.

Focus sur le pricing power. Avec Mark Nichols de Jupiter Asset Management.

À l’instar du cochon paresseux, l’économie de la Chine s’est affaiblie, ce que le PIB de lundi a renforcé.

L'incertitude a eu des répercussions non seulement sur les exportateurs, mais également sur la confiance des entreprises et des consommateurs.

Tout comme le cochon, la Chine pourrait être qualifiée de «lente» et de «mal-aimée», compte tenu de la croissance du PIB et du sentiment des investisseurs.

Le gestionnaire d’actifs dirigé par Maarten Slendebroek dépasse les attentes au premier semestre.