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Le monde du politiquement correct avec son indignation boursouflée ne connaît plus de limite. N’y aurait-il rien de plus important à faire?

Maintenant que le moteur de l’économie européenne est sur le point de se noyer, les pays européens autrefois si décriés doivent voler au secours de l’Allemagne.

Un élargissement de l’offre nous permettra difficilement de surmonter la pénurie d’électricité qui s’annonce. Et rien ne permet de savoir si l’UE voudra bien céder quelques gigawatts à la Suisse.

Dans la phase actuelle de déséquilibres extrêmes, il semble logique que la politique fasse ce qu’elle fait toujours: plus ou moins la même chose, mais jamais vraiment assez.

Ce n’est pas la conjoncture ni l’inflation, mais bien la pénurie sur le marché du logement qui constitue le principal problème auquel est confrontée la Suisse.

Dans la théorie économique, il existe des biens dits libres. Ils se définissent comme des biens pour lesquels aucun prix n’est facturé, parce qu’ils sont disponibles en quantité.

Aujourd’hui, la violence à la télévision ne correspond plus à un duel au révolver, mais à des débauches de violence sanglantes et orchestrées.

Pour une fois, le franc fort a été une bénédiction, puisqu’il a nettement atténué les hausses exorbitantes des matières premières, au moins d’un point de vue relatif.

Si l’individualisation va si loin aujourd’hui que chacun applique ses propres éléments de réflexion, il est déterminant de savoir s’il perturbe ou dérange d’autres personnes à cette occasion.

Le rythme des relèvements de taux ne sera pas soudainement interrompu, juste parce que Wall Street fait des difficultés et même si la conjoncture menace de ralentir.