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Mardi, le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador avait révélé que son gouvernement étudiait la possibilité de participer à la reprise de Banco Nacional de Mexico aux côtés d’un investisseur privé.

La société de crédit-bail mexicaine déclare qu’elle continuera de se conformer aux «obligations de paiement dans le cadre de structures de titrisation privées sans recours».

Selon le portail économique El CEO, le groupe suisse figurerait au deuxième rang des créanciers «non garantis» de Crédito Real. La direction de CS assure ne pas avoir «d’engagement de crédit substantiel avec l’entrepris mentionnée».

Nestlé compte dans sa chaîne d’approvisionnement au Mexique quelque 80’000 producteurs de café. L’usine sera à la pointe du progrès en matière de traitement de l’eau et de consommation d’énergie.

Le groupe bancaire espagnol «a été informé qu’il ne participerait pas aux prochaines étapes du processus», a-t-il indiqué.

La filiale centre-américaine se concentre sur les clients présentant des besoins complexes et globaux.

Les exportateurs d’hydrocarbures et les pays bien gérés sont toutefois mieux armés que les autres face aux sanctions.

Le numéro 4 américain cède les secteurs de la consommation et des petites et moyennes entreprises au Mexique où elle opère sous le nom de sa filiale Citibanamex.

Les employés auraient été informés de la décision mercredi, affirme Bloomberg, citant deux personnes au courant des affaires de la banque.

Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé.