Allnews

Les rendements des obligations d'Etat ont continué d’augmenter pendant le mois, donnant le ton aux marchés pour le mois d’octobre.

En dehors de la hausse des prix du pétrole, celle des produits de base ne devrait avoir qu’un impact limité sur l'inflation à court terme au niveau des consommateurs.

Les dépenses de consommation se sont redressées en début d’année aux États-Unis, une tendance qui devrait bénéficier de nouvelles mesures de relance budgétaire.

Les fondamentaux économiques sont mitigés même si les données restent solides.

Le marché japonais est surpondéré en valeurs industrielles et de consommation discrétionnaire mais moins exposé à celles des technologies de l’information.

Au cours de ces derniers mois, la différenciation entre les économies a été très discrète en comparaison du choc commun auquel elles ont toutes été confrontées.

La crise du coronavirus combine des aspects de choc d'offre et de choc de demande, et pourrait donc en théorie faire évoluer l'inflation dans un sens ou dans l'autre.

Si elle ne s’est pas normalisée partout, la tension sur le financement s’est nettement apaisée.

Pour être efficace, la réponse politique doit apporter un soutien ciblé de taille suffisante pour éviter que l'arrêt soudain des services se transforme en marasme plus général et plus durable.

Toutes les facettes de l’économie mondiale ne sont pas en train de se renforcer. L’épidémie du coronavirus en Chine complique la situation à court terme.